Odieux visuels
Deux amis discutent, un micro enregistre le tout… Sur quel sujet ? Le cinéma, celles et ceux qui le font, sous tous les angles, ses originalités et il y en a…
Selon nos envies, enthousiasmes ou nos déceptions, on prend ce temps d’antenne de Radio Octopus pour déclarer notre amour au cinéma.
Que tu traînes par hasard, par curiosité ou par envie, sur la grande toile, on t’invite à appuyer sur lecture et à écouter, découvrir nos discussions, élucubrations et autres interprétations très personnelles des propositions de cinéma qui nous accompagnent, nous questionnent et nous animent.
Sois le/la bienvenu.e dans Odieux Visuels, bonne écoute.
Bisous
#03 / Pixar, hydre de l'imaginaire (2)
Suite du dossier Pixar, ouvert lors du précédent numéro.
#02 / Pixar, hydre de l’imaginaire (1)
« Je voudrais une belle idée neuve... » La commande du critique culinaire Anto Engo : antagoniste du film Ratatouille résonne en deux échos distincts : tant comme une provocation, un défi lancé à qui aurait l’audace de le relever mais aussi comme une supplique, un besoin impérieux de renouvellement dans les cuisines de l’art.
L’audace, c’est le mot moteur de cette forme, Pixar avec laquelle nous avons tous et toutes tissé un lien si particulier au fil des décennies ; qui ont vu s’égrainer les courts et longs métrages révolutionnaires dans le monde de l’image animée.
Nous remettons le couvert pour en disserter, joyeusement et longuement de tout ce qui nous a ému, remué et déplu dans l’univers « infini ? » De la Firme à la lampe rebondissante.
Bon app’ et bonne écoute
Julian & Sami
Crédit musique :
Dead
Man, Guitar Solo, No.1, Neil Young
Je
suis ton ami, Charlélie Couture, vo de Randy Newman
The incredits, Michael Giacchino
Pixar in Concert, Boston Pops
Orchestra
_____________________
« Chaque
homme devrait tirer un bateau sur une montagne une fois dans sa
vie ».
Lui, l’a fait. Pour le montrer au monde, pour symboliser la vacuité des ambitions humaines ou pour simplement pouvoir le dire.
On
l’a défini comme inclassable, iconoclaste, prophète ou
journaliste, lui, Werner Herzog se considère comme un bon
travailleur. Au
fil de ses œuvres, aussi sensibles, fascinantes ou radicales
qu’elles soient, Herzog, a imprimé une empreinte en décalage de
l’industrie du cinéma mondial. Un
décalage que l’on retrouve dans sa biographie et dans ses prises
de paroles – heureusement nombreuses.
À notre tour de disserter et de causer de cette grande figure de la deuxième partie du siècle dernier.
Bonne écoute.
Crédit musique dans l’ordre d’apparition :
- Dead Man, Guitar Solo, No.1, Neil Youn
- Office Supplies, Werner Herzog
- Heaven on Earth (My son, my son what have we done), Ernst Reijseger
- Vidu Ndh’Appo De Rosa, Ballu Brincu, Ernst Reijseger
- Die grosse Ekstase des Bildschnitzers Steiner, Popol Vuh
- Langsame Polka, air populaire issu du film Woyzeck
- Rick and Morty, Justin Roiland, Dan Harmon
- Ghetto Raba, The Third Ear Band (from the remastered 1969 L.P Alchemy)
- Body Horror, Werner Herzog
- Als Lebten Die Engel Auf Erden, Popol Vuh
- Burden of dreams, Les Blank
- Bad Lieutenant : Escale à la Nouvelle-Orléans, Mark Isham
- Truman Sleeps from The Truman Show, Philip Glass
- Coyotes, Don Edwards
- Chandelier, Sia
- Die Hard with a Vengeance, Johnny Comes Marching Home, Michael Kamen
- Encuentro en la Cupula en Vivo, The Last Of Us, Gustavo Santaolalla